Les responsables de la surveillance épidémiologique aux frontières du Ghana et du Togo discutent mardi des modalités à mettre en oeuvre dans l’hypothèse d’une réouverture au public.
‘A la différence des aéroports et des ports, les points d'entrée terrestres sont plus difficiles à surveiller’, souligne Seydou Ouaritio Coulibaly, expert à l'OMS Togo. Il insiste sur l’importance du partage d’information entre les deux pays.
Des échanges de même nature ont été menées avec le Bénin et le Burkina Faso.
Il n’est pas possible de fermer hermétiquement les frontières. Les points de passage clandestins sont nombreux.
Les postes officiels permettent la circulation des véhicules privés et des bus.
En cas de réouverture, des centres de dépistage conjoints pourraient être installés à l’instar de ce qui existe entre pays européens.