Eco & Finance

Fiscalité douce pour attirer les investisseurs

Hengqin Free Trade Zone, Zhuhai City, province de Guangdong en Chine

Le Togo fut l’un des premiers pays africains à se doter d’une zone france. C’était en 1989 à l’initiative de l’Overseas Private Investment Corporation (OPIC), l'institution de financement du développement du gouvernement des Etats-Unis, et des autorités de l’époque.

Depuis plus de 30 ans, c’est la SAZOF qui pilote le projet avec une centaine d’entreprises présentes.

Le pays souhaite faire davantage en créant de nouvelles zones économiques spéciales (ZES).

L’idée est de s’inspirer de modèles à succès comme l’île Maurice, Dubaï, le Panama, la Chine ou le Maroc.

Les ZES sont des zones bénéficiant d’une règlementation économique spécifique, différente du reste du pays, dans le but d’attirer des entreprises et investisseurs étrangers. Autrement dit, une fiscalité plus attractive. 

La SAZOF n’a pas démérité, mais des évolutions sont nécessaires dans le cadre du plan national de développement.

Raison pour laquelle une nouvelle entité a été créée, l’Agence de promotion des investissements et de la Zone franche (API-ZF) 

Elle permettra d’assurer efficacement l’administration du nouveau Code des investissements et l’application du nouveau statut de la zone franche industrielle, indique-t-on de source officielle.

Le gouvernement caresse le projet d’installer des zones franches à travers le pays et pas seulement à Lomé.

Les entreprises devront s’engager à réexporter la quasi-totalité de leur production pour bénéficier d’avantages fiscaux.

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