Le syndicat national des conducteurs d'engins lourds du Togo pousse une gueulante.
Les conducteurs d’engins spéciaux (buldozers, appareils de levage, de compactage …) seraient essentiellement des étrangers.
‘C'est inadmissible. Nous sommes lésés, nous n'avons jamais été associé dans les constructions des routes’, déplore Paul Agbessi, secrétaire général de ce syndicat. Il cite, notamment, la réhabilitation de la route Lomé-Kpalimé (réalisée par une entreprise de TP burkinabé).
Il n’y a pas d’ostracisme de la part des opérateurs. Le problème vient du manque de formation et d’expertise des professionnels togolais.