Éducation

Inquiétude dans les établissements privés

Enseignants et parents préoccupés

Les écoles privées du primaire et du secondaire sont les victimes collatérales des mouvements de grève dans le public. Certes, le personnel enseignant n’a pas cessé le travail, mais ces établissements sont régulièrement envahis par de jeunes élèves oisifs venus perturber les cours, souvent à l’incitation de leurs enseignants.

Du coup, plusieurs écoles à Lomé et en province ont décidé de fermer boutique à chaque appel à la grève lancé par les syndicats du secteur public afin d’éviter d’éventuels troubles.

Conséquence, le programme est très perturbé. 

Alexandre Adognon, l’un des dirigeants de l’Union des fondateurs des écoles privées laïques du Togo (UFEPLAT) ne cache pas son inquiétude.

‘Nous sommes très préoccupés. Nous arrivons à la fin du deuxième trimestre et un important retard à été pris’. Il redoute même une année blanche.

Des pourparlers ont lieu actuellement entre les syndicats d’enseignants et le ministère de tutelle pour mettre un terme à la crise qui dure depuis la rentrée scolaire.

En cas d’accord, l’année scolaire pourrait être exceptionnellement prolongée pour rattraper le retard accumulé.

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