La diffusion de fausses information est un fonds de commerce pour de nombreux médias.
La Haute aAutorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC) veut mettre de l’ordre.
Elle ne parle pas encore de sanctions. Il s’agit d’abord de sensibiliser la profession.
Bonne initiative, mais la grande majorité des fake news sont véhiculés par les réseaux sociaux. Aucune action légale n’est possible depuis de Togo à moins de mobiliser une batterie d’avocats à l’étranger et de mettre en branle une procédure internationale longue et coûteuse.