Politique

Tout compte fait

Un boulier s'impose pour compter les départs

Le départ de la moitié des partis membres de la coalition de l’opposition ne semble pas inquiéter Antoine Folly, dont la formation, l’UDS, siège encore au sein de ce groupement.

‘Cela va permettre de clarifier le jeu politique et on verra les gens qui ont les mêmes visions ou stratégies politiques', a-t-il déclaré sur Victoire FM.

Sur l’implosion de la coalition, il a son explication : les objectifs des uns et des autres n’étaient pas les mêmes. Certains exigeaient le départ du chef de l’Etat comme préalable aux réformes, d’autres une évolution politique démocratique.

Pour Antoine Folly, la désignation d’un représentant de l’ADDI à la Commission électorale est regrettable.

‘Nous avons été informés très tardivement et sans aucune consultation. C’est dommage pour une coalition’, a-t-il déploré.

Il a assuré que la ‘coalition existait toujours’. Mais pour combien de temps encore ?

Pour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.

  • Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.