Diplomatie

Faure Gnassingbé à New-York pour l'AG de l'ONU

La salle de l'Assemblée générale des Nations Unies

Le président Faure Gnassingbé prend part depuis mardi à l'Assemblée générale des Nations Unies.

Le débat annuel de l’Assemblée générale est lancé

Le bâtiment, transformé par la police en camp retranché dans l'est de Manhattan, et son secrétaire général, le Portugais Antonio Guterres, accueillent environ 130 chefs d'Etat et de gouvernement - en hausse par rapport à 2017 -, quatre vice-présidents et plus de 40 ministres des Affaires étrangères.

Une semaine de discours - un par pays, 193 nations formant l'ONU -, d'apartés et d'évènements en tous genres sont prévus : défense de l'éducation, lutte contre l'antisémitisme, le plastique qui pollue, la tuberculose, inauguration d'une statue de Nelson Mandela, discours cubain dans une église, show d'un groupe pop...

Le climat, considéré par certains dirigeants comme la menace principale pour la planète, fera l'objet d'une mobilisation particulière. 

Petits et surtout grands conflits, avec ou sans mission de paix de Casques bleus, seront comme chaque année au menu des discussions qui alimenteront la ‘grand-messe’ diplomatique de l'année, du Sahel à la Birmanie, en passant par la Libye, la Centrafrique, la Somalie, le Proche-Orient, le Yémen ou le Venezuela.

En marge de l’AG, le président togolais aura un certain nombre de rencontres avec des dirigeants politiques étrangers et avec les responsables des agences onusiennes. Le programme n’a pas été communiqué par les services de la présidence.

L’Assemblée générale est l’occasion de rencontrer dans un même lieu une multitude de décideurs politiques sans avoir à se déplacer à travers le monde.

Ce rendez-vous annuel de la diplomatie mondiale est plus intéressant pour ses rencontres bilatérales que pour ses plénières, simple exercice protocolaire.

Depuis son élection en 2005, Faure Gnassingbé a assisté à la plupart des Assemblées générales de l’ONU.

Le coup d'envoi de six jours de discours a été donné par le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, qui a dressé, le visage grave, le tableau d'un monde où "les valeurs universelles s'érodent (...), les principes démocratiques sont attaqués".

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