Diplomatie

Sahel, Afrique de l’Ouest : l’urgence est là

En marge de la 21e session de la Commission pour la prévention du crime et de la justice, et à la demande de la mission française auprès de l’ONU et des organisations internationales à Vienne, le représentant du Togo, Essohanam Comla Paka (photo), a présenté le 25 avril dernier dans la capitale autrichienne l’intitiative de Faure Gnassingbé en matière de lutte contre la criminalité transfrontalière en Afrique de l’Ouest et au Sahel. 

Cette question avait été longuement évoquée lors du débat de haut niveau, organisé en février dernier à New York, à l’occasion de la présidence par le Togo du Conseil de sécurité. 

Le chef de l’Etat avait alors mis en garde contre les menaces et appelé à une plus grande coopération internationale. 

Organisée par la Mission permanente de la Suisse auprès des Nations Unies et des organisations internationales en Autriche, avec le soutien de la mission française auprès de l’ONU et des organisations internationales à Vienne, la session a regroupé, outre les ambassadeurs francophones, des représentants de pays anglophones (Nigeria, Kenya, Libéria et Afrique du Sud, notamment).

Les débats ont porté sur les derniers développements concernant la criminalité transnationale organisée en Afrique de l´Ouest et au Sahel et sur les moyens de renforcer la coopération avec l´ONUDC (Mission de l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime).

Les derniers événements au Sahel avec, notamment, la situation au Mali ou l’instabilité en Guinée Bissau, montrent clairement qu’il y a urgence.

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