La société « Lydia Ludic Togo » qui gère des salles de jeu et place des machines à sous dans les buvettes entend mener des actions vertueuses. C'est ce qu'indique jeudi le quotidien Togo Presse. « (…) Nous allons montrer l'autre visage de Lydia Ludic (…) qui compte mettre une partie de ses bénéfices au service de la Cité et surtout des plus défavorisé », explique au journal Edouard Ndiaye, l'un des responsables de cette société.
Des déclarations faites lors de l'inauguration d'une nouvelle salle de jeu à Décon.Pefaco, qui développe l'activité machine à sous au Togo et dans plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest sous le label « Lydia Ludic », a son siège en Espagne ; elle est dirigée par Francis Perez.
Jusqu'à la fin des années 80, le Togo comptait plusieurs casinos, notamment à Lomé. Les grands hôtels (La Paix, Sarakawa, Palm Beach et 2 février) disposaient d'établissements proposant machines à sous, roulette et black jack avec des croupiers professionnels venus d'Europe.
Ils ont tous fermé leur porte progressivement en raison de la crise politique et économique et de la chute de l'activité touristique.
Après deux journées en garde à vue, Vincent Bolloré est ressorti mercredi soir du bureau des juges financiers parisiens avec une mise en examen pour ‘corruption’.
Le Togo a bénéficié pendant 3 ans du Cadre intégré renforcé (CIR), une initiative de l'organisation mondiale du commerce.
Le président Faure Gnassingbé s’est rendu mardi au CHU Sylvanus Olympio de Lomé, le plus grand hôpital du pays.
Les ministres de la Sécurité du Conseil de l’Entente ont validé ce weekend à Lomé le mécanisme ‘Entente Renseignements’.
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