La 41e Assemblée générale de la conférence permanente des chambres consulaires africaines et françaises (CPCCAF) s’est ouverte jeudi à Lomé.
140 délégués représentant 26 chambres africaines, 1 chambre belge, et 13 chambres françaises y participent.
Bernadette Legzim Balouki, la ministre du Commerce, de l’industrie et de la Promotion du secteur privé, a ouvert les travaux en rappelant l’engagement du Togo de poursuivre les réformes économiques afin d’améliorer le climat des affaires.
‘Des progrès très importants ont d’ores et déjà été faits concernant la création d’entreprise, l’accès à l’électricité, le commerce transfrontalier. Sans évoquer la modernisation des infrastructures routières et portuaires’, a-t-elle souligné.
Pour Albert Yuma-Mulimbi, le président de la CPCCAF, il ne faut pas se tromper dans le choix des partenaires. ‘Trop souvent, les pays africains accordent trop d’attention aux grands groupes multinationaux qui viennent en visite de prospection. On leur donne le code des investissements, on leur facilite tout, en oubliant que le socle de développement, c’est celui des petites et moyennes entreprises à qui, il faut donner plus de facilité »,’
Parallèlement à cette rencontre, une Convention d'affaires, organisée par la Chambre de commerce et d'industrie du Togo (CCIT), en partenariat avec la Maison de l’Afrique, va permettre aux entreprises togolaises de rencontrer des partenaires venus d’Afrique et d’Europe. 129 représentants de sociétés du Bénin, du Burkina-Faso, de RDC, de Tunisie, de France et de Belgique.
Information additionnelle
Intervention ministre du Commerce.pdf
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