Eco & Finance

Secteur privé : dépassionnons les conflits sociaux

Les tensions sociales ont un coût très lourd pour le secteur privé, les salariés et l’Etat. Il est temps de repenser la relation et de créer une véritable culture du dialogue. C’est le souhait exprimé lundi par le patronat (CNP).

‘Les contraintes auxquelles les entreprises togolaises font face sont nombreuses. Il faut repenser les stratégies, innover dans la gestion quotidienne et réévaluer nos objectifs. Les revendications des salariés doivent être traitées de manière adéquate et pérenne afin de ne pas compromettre la relance’, a indiqué François Adadé Ekué, l’un des responsables du CNP.

La grogne sociale et les grèves peuvent avoir de lourdes conséquences, estime M. Adadé Ekué, qui cite la baisse de production et du chiffre d’affaire, mais aussi à terme la perte des emplois. De surcroît, note-t-il, un climat social tendu n’est pas de nature à rassurer les investisseurs étrangers. 

Pour le CNP, il y a donc nécessité à établir un dialogue employeur/employé dépassionné, professionnel et responsable.

Toute cette semaine, le patronat va former, les chefs d’entreprises, les responsables des ressources humaines, les délégués du personnel aux techniques de gestion des conflits.

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