Eco & Finance

Sylvia Aquereburu et l'intelligence émotionnelle

L'association des femmes chefs d'entreprise du Togo (AFCET) fête son Xe anniversaire.

L'AFCET, sorte de lobby, entend peser auprès des décideurs politiques pour qu’ils accordent aux femmes les mêmes droits qu’aux entrepreneurs de la gente masculine.

Les pesanteurs culturelles sont encore un obstacle, concède la présidente de l’organisation, l’avocate Sylvia Aquereburu (photo).

Republicoftogo.com: Est-il aisé d’être une femme chef d'entreprise au Togo ?

Sylvia Aquéréburu: Une femme chef d'entreprise a quasiment les mêmes difficultés qu'un homme. A cela s'ajoutent, les pesanteurs culturelles inhérentes. 

Nous avons toutefois des atouts. En tant que femmes, nous abordons les affaires avec une sensibilité que les hommes n'ont pas. C'est cela l'intelligence émotionnelle. C’est une force et une source de réussite.

Republicoftogo.com: Dix ans d'AFCET, c’est l’heure du bilan

Sylvia Aquéréburu: Un long chemin a été parcouru. 

Nous militons pour une évolution économique du Togo. Nos actions ont fait bouger les choses. Les membres de notre association sont désormais associés à toutes les grandes discussions comme le dialogue social. C’est logique car au Togo les femmes jouent un rôle majeur dans le secteur du commerce et des affaires.

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