Si le front social s’est apaisé avec les annonces faites mercredi par le gouvernement en direction des fonctionnaires, la réouverture des écoles n’est pas encore à l’ordre du jour.
«La situation qui prévaut aujourd’hui ne peut pas nous amener à prendre la décision d’ouvrir les établissements scolaires tant que la sécurité et la paix ne seront pas revenus pour permettre aux élèves reprendre les cours dans la sérénité », a expliqué Solitoki Esso, le ministre des Enseignements primaire et secondaire.
Les autorités souhaitent la reprise des cours le plus vite possible et les jours perdus seront récupérés. Quant aux examens de fin d’année, ils ne sont en aucun cas compromis, a ajouté le ministre.