Environnement

Gérer les risques, protéger la population

Le gouvernement en redemande

Le Togo et la Banque Mondiale ont lancé il y a 3 ans le Projet de gestion intégrée des catastrophes et des terres (PGICT).

Ce dispositif d’un montant de 16 millions de dollars, en partie financé par la BM, a pour objectif de renforcer les capacités institutionnelles pour la gestion des risques d’inondations et de dégradation des sols dans les zones rurales et urbaines. Il a également comme finalité de garantir la gestion durable des terres dans les écopaysages ciblés et les zones soumises aux aléas climatiques. Un sujet d’actualité au moment où se déroule en France la conférence sur le climat (COP21).

Une mission de la BM vient d’achever un séjour d’une semaine au Togo afin d’évaluer les résultats de ce programme.

Les experts ont visité différents sites où ont été réalisés le dragage d’un lac et la construction d’un dispensaire (Boko), le désenclavement de 12 villages dans la préfecture de l’Agou grâce à la construction d’une piste rurale, le reboisement à flanc de montagne dans la préfecture de l’Amou et la construction d’un réseau d’assainissement à Tsévié.

De façon générale, la gestion globale du projet est satisfaisante. La mobilisation de la population a été déterminante dans l’atteinte des résultats’, a souligné Koffi Hounkpè, chef de la mission.

68 projets qui ont été financés au total.

Le programme s’achèvera en 2017, mais le Togo a d’ores et déjà sollicité la Banque mondiale pour continuer les actions de lutte contre les changements climatiques. 

Une demande officielle a d’ores et déjà été formulée. 

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