Un cargo battant pavillon togolais, intercepté le 28 février dernier par la marine grecque au large de la Crète, ne transportait ni armes, ni munitions, ni explosifs. Il se rendait d’Izmir à Beyrouth. C’est du moins ce qu’affirment un certain nombre de médias libanais.
Mais la presse turque a une autre version. La cargaison comprenait 6.400 armes dont des fusils à pompe et des explosifs.
Après vérification, la Grèce a autorisé le navire à reprendre la mer ce qui laisse supposer qu'aucun chargement suspect ou interdit n'était à bord.