Eco & Finance

La BIDC ouverte à des partenariats avec les pays émergents

Bashir Mamman Ifo

La Banque d’investissement et de développement de la Cédéao (BIDC) a réalisé en 2015 un bénéfice de 2,7 millions de dollars, légèrement mieux que l’année précédente.

Des résultats annoncés mardi par le président de l’institution, Bashir Mamman Ifo, en présence du nouveau président de la Commission de la Cédéao, Marcel Alain de Souza.

Si la BIDC  est un maillon important pour l’investissement et le développement des pays de la Cédéao, le faible taux d’échanges et d’infrastructures est un obstacle réel, estime M. de Souza.

Pour lui, l’interconnexion dans tous les sens du terme de la région doit être la priorité.

Autre problème auquel est confronté la banque de développement, la faible mobilisation des ressources. Il est envisagé de se tourner vers la Chine, la Corée, l’Inde et les pays arabes.

La BIDC, dont le siège est à Lomé,  est une institution financière internationale créée par les 15 Etats membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest  (Cédéao). Elle regroupe : le Bénin, le Burkina Faso, le Cap Vert, la Côte d'Ivoire, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Libéria, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone et le Togo.

Son activité repose sur la promotion du secteur privé, et sur le développement du secteur public. 

Pour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.

  • Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.