30 jeunes casseurs interpellés cette semaine à Lomé lors des manifestations de l’opposition ont été jugés vendredi.
10 ont été relâchés faute de charges suffisantes. 16 autres ont été condamnés à des peines de 18 mois de prison, dont 8 avec sursis. Ces peines ne sont pas assorties de dommages et intérêts.
Le tribunal n’a pas été en mesure de se pencher sur le cas de 3 mineurs et d’un jeune présentant des problèmes psychologiques.