Au fil des ans, le blanchiment de la peau a pris des proportions inquiétantes dans la plupart des pays du continent.
Un peu partout en Afrique, d’Abidjan à Dakar en passant par Cotonou et Lomé, une pratique tend à se généraliser : c’est la dépigmentation artificielle ou volontaire de la peau.
Togo Matin paru mercredi s’intéresse à ce phénomène de société.
Y mettre fin paraît compliqué ; en revanche, les pouvoirs publics doivent interdire certains produits ultra toxiques.
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Togo Matin N°394.pdf
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