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De l’import-export en politique

« Après la dissolution de l'OBUTS et après avoir délibérément violé les astreintes qui lui coûtent la lourde et écrasante somme de plus de 600.000.000 de Francs CFA, Agbéyomé Kodjo sait très bien que, n'ayant plus aujourd'hui un matelas financier, va, à défaut de pouvoir payer la facture de son zèle, perdre ses maisons, ses voitures et tous ses biens », écrit l’hebdomadaire Chronique de la Semaine, paru jeudi. Ce journal a l’ancien ministre du général Eyadema dans le collimateur.
Au sommaire également, un article sur les pratiques du FRAC pour attirer du monde lors des marches hebdomadaires du samedi. Jean-Pierre Fabre pratique l’import-export, assure Chronique.

Voici une sélection d’articles publiés par l’hebdo
Crise à l'UFC :
Les fédérations de l’UFC des Savanes adressent une lettre de menace à Jean-Pierre Fabre
Visiblement, le " président " élu de la plage, Jean-Pierre Fabre, est de plus en plus lâché par les fédérations de son parti (l'UFC) qui constituent en réalité l'ossature du congrès. Les cinq fédérations de la région des Savanes, en l'occurrence les préfectures de Tône, Oti, Cinkassé, Kpendal et Tandjoiré, ont fustigé, dans une lettre de mise en garde adressée à Jean-Pierre Fabre secrétaire général de l'UFC, la démarche que ce dernier et ses acolytes ont entreprise pour intoxiquer les militants, diffamer et insulter le président national du parti, Gilchrist Olympio. " La tournée organisée par Jean-Pierre Fabre est une tournée d'intoxication, de diffamations, et d'insulte à l'endroit du bureau national ". Ces propos laissent apparaître clairement que les fédérations de la Savane désavouent la délégation envoyée par Jean-Pierre Fabre pour tenter d'obtenir leur soutien en vue du prochain congrès dont la date n'est pas encore fixée.
Or il se fait que conformément à l'article 14 des statuts du parti enregistrés au ministère de l'Administration territoriale, le congrès ne peut être présidé que par le président national. Selon cet article 14, le congrès se réunit en cas de nécessité sur convocation du bureau national. Dans ce cas, il est présidé par le président du bureau national. Ce qui indique clairement que c'est le bureau réaménagé par le président national et dont la liste a été déposée au ministère de l'Administration territoriale qui est habileté à organiser ce congrès qui devra être présidé par le président national du parti, Gilchrist Olympio. Cette exigence des statuts en vigueur semble inquiéter Jean-Pierre Fabre et ses comparses qui s'agitent et commencent par crier au loup alors qu'il n'en est rien du tout.
Pour eux, Gilchrist et ses amis veulent organiser le congrès avec l'appui du RPT pour leur chiper le parti. Au cours de leur 18ème marche de samedi, Jean-Pierre Fabre fulminait : " Je voudrais lancer un appel à nos partisans, car ceux qui pensent qu'ils peuvent avec l'aide du RPT organiser un faux congrès pour s'arroger le leadership de l'UFC se trompent. Nous allons mobiliser toute la population togolaise contre eux ". Quelle signification Jean-Pierre Fabre donne-il à cette déclaration ? Que vient chercher le RPT dans un congrès de l'UFC ?
Qu'entend-il par faux congrès ? Nous avons l'impression que le président de la plage, Jean-Pierre Fabre, pète les plombs. Le RPT qui a gagné la présidentielle de 2010 et qui gouverne le pays a quoi à foutre avec l'UFC en crise, une crise dont l'auteur n'est autre qu'un certain Jean-Pierre Fabre.
Est-ce le RPT qui a poussé Jean-Pierre Fabre à poignarder dans le dos de son maître Gilchrist Olympio, d'abord en constituant son dossier à l'insu de celui-ci pour déposer sa candidature à la présidentielle 2010 alors que le congrès avait choisi le président national du parti ? Est-ce que c'est le RPT qui lui a demandé d'exclure le propriétaire de l'UFC en foulant aux pieds les textes qui régissent ce parti ? Est-ce c'est le RPT qui lui a demandé de monter les jeunes pour lapider son bienfaiteur, Gilchrist Olympio ? Autant de questions que l'on peut poser à Jean-Pierre Fabre au sujet de cette crise dont personne ne doute qu'il est l'auteur principal. En accusant le RPT d'être derrière cette crise, Jean-Pierre prouve qu'il est peu fécond en esprit.
Qu'est ce que Jean-Pierre Fabre appelle un faux congrès ? Est-ce que c'est lorsqu'il n'est pas sûr de court-circuiter son patron pour reprendre en main le parti que le congrès est un faux ? Puisqu'il appelle déjà ses marcheurs de samedi à la mobilisation. Pourtant il est conscient que ceux qui vont marcher chaque samedi ne sont pas tous du l'UFC. Il est évident que comme il est vomi par la majorité des fédérations de l'intérieur du pays, Jean-Pierre Fabre rejette la voie du congrès tant souhaité par la majorité des militants pour sortir définitivement le parti de la crise.
Le secrétaire général de l'UFC compte sur ses badauds qui ont lapidé le leader charismatique de l'opposition, Gilchrist Olympio, pour créer le désordre et empêcher le bon déroulement du congrès. Pour les fédérations de la région des Savanes, il est hors de question de voir gambader dans leur région les acolytes de Jean-Pierre Fabre dont la mission serait d'insulter, de diffamer Gilchrist et d'intoxiquer les populations. En somme, Jean-Pierre Fabre en perte de vitesse veut compter sur les marcheurs de samedi et ses badauds pour reconquérir le parti au mépris des textes qui régissent celui-ci.
Aliziou Dominique

Jusqu’où ira cet homme ?
Agbéyomé Kodjo, bientôt zémidjan?
La photo mise à la une de notre parution du jour n'est ni une caricature ni une illustration piquée dans le célèbre recueil de dessins animés appelés " Tintin ".
L'homme que vous voyez ici n'est pas un habituel conducteur de taxi-moto, communément appelé " Zémidjan ou Oléyia ", Il s'agit, bien d'Agbéyomé Messan Gabriel Koffi KODJO, l'ancien Premier Ministre, le commanditaire des massacres de Fréau Jardin. L'un des militants de la défunte OBUTS, au vu de la photo, l'a confondu à un " Oléyia " qui bat les pavés chaque samedi aux côtés de FABRE.
Agbéyomé KODJO serait-il un " Oléyia " nocturne ?
Après la dissolution de l'OBUTS et après avoir délibérément violé les astreintes qui lui coûtent la lourde et écrasante somme de plus de 600.000.000 de Francs CFA, Agbéyomé KODJO sait très bien que, n'ayant plus aujourd'hui un matelas financier, va, à défaut de pouvoir payer la facture de son zèle, perdre ses maisons, ses voitures et tous ses biens. Ainsi, le " tout désormais faible " de Tokpli conviendrait avec nous que, pour survivre avec sa famille, il est donc contraint d'embrasser de petits jobs comme celui de conducteur de taxi-moto… comme la photo l'indique.
Où va cet homme à moto ?
Personne ne saurait répondre mais vu le sourire constaté sur ses lèvres noircies par la fumée de Marlboro, on ne doute pas que l'homme, le nouveau " Oléyia " serait à la recherche d'un client. " ACP MOTO ", l'un des syndicats des conducteurs de taxi-moto, créé par son directeur de campagne, doit lui faire le plaisir de l'enregistrer dans les livres des syndiqués car, après la dissolution de l'OBUTS qui lui servait de tremplin pour extorquer de l'argent à d'honnêtes citoyens, " Agbéy " n'a plus de business à vanter pour se faire l'important, l'homme s'étant lui-même par des actes ignobles dans un passé récent.
La terre ne trompe pas, dit-on. Agbéyomé KODJO doit prendre son courage à deux mains, comme il l'avait fait en publiant son brûlot contre le général Eyadéma en juin 2002, pour regagner son village au risque de mourir de honte.
Agbéyomé KODJO ira-t-il à la justice ?
Suite à l'appel qu'Agbéyomé KODJO a interjeté dans l'affaire qui l'oppose à Vidada, une comparution devant la Cour d'Appel de Lomé serait prévue dans les jours à venir et au lieu qu'Agbéyomé pense à la santé de ses 32 milliards qui seraient bloqués dans une banque européenne (selon lui), " l'héritier naturel " d'Eyadéma se contente de commettre des avocats des barreaux de Dakar et de Paris. De certaines sources, nous apprenons qu'Agbéyomé KODJO affuteraient ses armes pour se porter candidat dans le Yoto aux prochaines échéances électorales sous la bannière de son machin de Collectif pour la Vérité des Urnes (CVU), oubliant une fois encore que cette association est illégale pour faute de récépissé…
Sans parti politique ni moyens financiers, que peut faire Agbéyomé KODJO si ce n'est de vociférer AGBAN AGBODJI et VICTAGO à la plage lors des manifestations du FRAC, alors que, ironie de sort, ce sont ses propres effets qui sont jetés dans la rue.
De toutes les manières, tout chemin conduit à quelque par et celui d'Agbéyomé KODJO mène à Tokpli. Il s'y rendra avec sa famille sur cette moto SANYA qu'il s'est achetée, heureusement quelques mois avant la mort de son business qu'est l'OBUTS.
Chronique de la Semaine, une fois encore fidèle à sa politique d'aide, se propose d'offrir gracieusement du carburant " Bourè " à Agbéyomé KODJO pour éviter qu'il ait une panne sèche en cours de route.
CS.
Le FRAC en perte de mobilisation ?
De l'import / Export pour gonfler le nombre des marcheurs de samedi
Décidément, la mobilisation populaire tant vantée par les journaux acquis à la cause du FRAC au sujet de la marche de samedi est sujette à caution. Malgré à ce que les responsables du FRAC ont l'habitude de déclarer pour faire croire que leurs militants et sympathisants viennent librement aux marches, et prennent en charge leur déplacement, la vérité est tout autre. Si peut-être au début, la mobilisation était un peu forte, il faut reconnaître que ce n'est plus le même engouement aujourd'hui. Et ça, les responsables du FRAC le savent. C'est pour cela qu'ils ont emprunté les vieilles méthodes du RPT pour essayer de grossir le nombre des marcheurs et faire croire que la mobilisation ne faiblit pas. Et comme le président de l'ex-parti OBUTS, Agbéomé Kodjo, était un spécialiste de ce genre d'opération consistant à transporter des gents d'une préfecture à l'autre à l'époque où il était le tout-puissant baron zélé du RPT, le FRAC ne s'est pas trop gêné pour s'approprier cette méthode. Depuis un moment, la mobilisation des marcheurs de samedi ne cesse en effet de faiblir.
Les Loméens fatigués de ces marches hebdomadaires boudent de plus en plus le mouvement. M. Ahli Jules, informaticien de son état résidant à Nyékonakpoe, se lamente : " on nous a promis depuis la victoire qui ne vient jamais. Je laisse mes affaires pour répondre présent à la marche parce que je croyais que le président Faure Gnassingbé n'allait pas pouvoir prêter serment, ni nommer un premier ministre, encore moins former son gouvernement pour diriger encore ce pays. Je croyais beaucoup à mes dirigeants du FRAC qui nous ont fait croire qu'en marchant, le président Faure quitterait le pouvoir. Mais depuis, comme je ne vois rien venir, j'ai dû arrêter d'aller à la marche ". Comme lui, ils sont nombreux à être déçus de leurs dirigeants qui leur ont fait croire qu'en marchant chaque samedi, le président Faure quitterait le pouvoir pour laisser la place à leur " président " Jean-Pierre Fabre. Ils sont donc nombreux aujourd'hui à bouder les marches hebdomadaires de samedi. Ce qui agit sur le nombre de personnes qui se rendent à la plage. C'est pour pallier cette démobilisation que Jean-Pierre Fabre et ses comparses ont souscrit à la leçon que leur a enseignée Agbéyomé Kodjo sur la stratégie de l'import /export, une méthode abandonnée depuis longtemps par le RPT sous Faure Gnassingbé. Pour ce faire, les FRACistes convoient leurs militants d'Aneho, d'Afagnan, de Tsévié, de Tabligbo et de Vogan pour grossir le nombre des manifestants et permettre à leurs médias de chanter à l'unisson : " mobilisation sans précédent ", " la mobilisation ne faiblit pas ", etc.
Ce qui est sûr, c'est l'opération import /export adoptée par le FRAC pour gonfler le nombre des marcheurs de samedi ne tardera pas à s'essouffler à son tour.
A.D

Construction des infrastructures pédagogiques
Où sont passés les 2,5 milliards de FCFA de la BID ?
Le gouvernement togolais avait signé le 23 juillet 2007 avec la Banque Islamique de Développement (BID) un accord de financement pour la construction 100 blocs pédagogiques. Les travaux affectés deux entreprises nationales dont le JARE ont débuté le 7oct 2009 et devraient en principe prendre fin le 7avril 2010.
Malheureusement dix mois après cette date, on constate amèrement que le chantier demeure à l'étape embryonnaire. D'après la visite dans les régions Maritime et des Plateaux des autorités en charge du dossier, le projet sombre dans une indescriptible léthargie.

On note un piétinement des travaux. On relève l'absence de placard à l'entrée des salles de classes pour handicapés, des barres de fer pour la toiture disproportionnées mais aussi légèrement posées sur le béton, des murs lézardés bien avant la finition des travaux, etc. La
Ministre des Enseignements Primaire et Secondaire Mm Bernadette Légzim s'est d'ailleurs indignée de la manière cavalière dont est conduit ce projet.
" Ce que j'ai vu m'a beaucoup déçue parce que j'avais déjà fait une tournée il y a à peu près un mois et à la suite de cette visite j'avais eu à inviter les entrepreneurs pour discuter avec eux et leur donner un nouveau délai pour qu'à la fin juillet on puisse réceptionner les bâtiments. J'ai remarqué que le travail est très mal fait et je me demande s'il y a des contrôles pour s'assurer de la qualité des travaux. Dans le marché, il y a des sanctions qui sont prévues et je pense qu'il faudra que chacun prenne ses responsabilités " a-t-elle indiqué.
Cette situation est encore pire dans la Région des Plateaux où après presque un an, les travaux demeurent toujours à l'étape de la fondation. En outre sur les 31 blocs pédagogiques visités, l'on doute encore de la probable livraison d'un seul bâtiment.
La question que l'on se pose dans cette affaire est de savoir où sont passés les 2.528107255 FCFA déjà déboursés par la BID. Qu'est- ce qui bloque l'avancement des travaux dès lors que le financement est déjà disponible ? Il faut que l'autorité compétente contraigne les entreprises en questions à donner des explications.
M.Benito
Le verdict du BAC II est tombé
Seulement 38,23% des candidats obtiennent le précieux sésame

Les résultats du baccalauréat 2010 sont tombés le lundi dernier. Sur 43508 candidats présentés, 16635 seulement ont été admis, soit un taux de 38,23%. Il faut dire que les résultats de l'enseignement technique (sérieG3 :71,45% ; série G1 : 79,03% ; série Ti : 62,50%) sont légèrement meilleurs à ceux de l'enseignement général (série A4 :32,36% ; série C : 64,68% ; série D : 32,96%)
Ce taux de réussite comparé à celui de l'année précédente (49,21%) est très régressif et suscite des interrogations sur le rendement de cette année scolaire et de tout le système éducatif. Interrogé sur les raisons qui expliquent l'échec en milieu scolaire ces temps-ci, M. Aimé, un enseignant, répond : " Il y a chez nos élèves un manque de bonne volonté et une grande tendance à la facilité. On rencontre des apprenants qui ont tout le mal du monde à distinguer un adverbe d'un nom. J'estime qu'il y a un sérieux relâchement au niveau du primaire et du secondaire ".
La proclamation des résultats a suscité chez les candidats des réactions diverses comme c'est le cas au lycée de Tokoin où nous avions assisté à cette "légendaire cérémonie". Pendant que les admis sautaient, criaient ou pleuraient de joie, les candidats malheureux ruminaient leur déception et leur douleur. Bellavi, une lauréate déclare : " c'est une joie, une grande joie qui m'anime après ces neuf mois de calvaire. Je rends grâce à Dieu".
Par contre, Landry, un recalé, se lamente : " Le BAC a été toujours difficile. C'est la seconde fois que j'échoue, c'est décevant. Voilà que tous mes petits frères ont réussi. Que vais-je dire cette fois-ci à la maison ?" Il faut dire que le spectacle de la proclamation des résultats n'est pas toujours facile à soutenir lorsqu'on voit de jeunes gens tomber en syncope par ici ou faire des crises d'asthme (évanouissement, difficultés respiratoires etc.) par là. Le BAC II 2010 a donc encore préfiguré l'une des scènes du fameux jugement dernier où d'un côté les bons clameront des hosannas tandis que, de l'autre les moins bons grinceront des dents.
Après le verdict, certains lauréats ont exprimé leurs ambitions post-baccalauréat : " Je compte m'inscrire en Droit l'année prochaine. " Pendant que certains comptent affronter la réalité et les pesanteurs qui jalonnent les sentiers du cursus universitaire, il y en a d'autres qui abdiquent et recherchent d'autres issues. C'est le cas de Kader qui explique : " Je suis tenté par l'université, mais avec tout ce qu'on raconte sur le système LMD, il y a de faibles chances que j'y aille. Or les écoles de BTS sont aussi si chères. J'espère alors un concours de recrutement national".
M.B

Les enfants de ANGE ont bouclé des vacances utiles à Tchogbakopé
Les enfants parrainés par l'ONG "Amis pour une Nouvelle Génération des Enfants" (ANGE), JADE pour la vie, SICHEM (une ferme agronomique de développement rural) ont passé des vacances utiles du 12 au 23 juillet 2010 à Tchogbakopé dans le canton de Kpomé (préfecture de Zio). Il s'agit d'une initiative de ANGE, SICHEM et FONDACIO Belgique, qui est à sa troisième édition et qui vise à permettre aux enfants de prendre conscience qu'ils ont des potentialités à faire valoir. Ce qui justifie le thème de ce camp chantier, à savoir " Sur les pas de Kirikou ".
" Enfin d'année scolaire, tous les enfants ont les mêmes besoins : laisser leurs sacs pour s'adonner à des activités de loisir, socioculturelles et éducatives. Malheureusement, faute de cadres, les enfants se livrent à des activités qui les pervertissent, telles que les films de guerre, la drogue, la prostitution… ", a expliqué le directeur de ANGE, M. Gabriel AMOUZOUVI.
Il s'agit, a-t-il dit, de responsabiliser les enfants pour qu'ils prennent conscience qu'ils ont des devoirs. Il faudra qu'ils commencent par faire une activité génératrice de revenus pour apprendre à se prendre en charge. " Nous pouvons souffrir aujourd'hui, mais nous avons le droit de rêver ", a-t-il ajouté.
L'année dernière, les enfants ont fait un champ de maïs qui leur a rapporté plus de 6 sacs. Cette année, ils ont pensé à la construction d'une porcherie. Le directeur de ANGE n'a pas manqué de remercier tous les partenaires et surtout FONDACIO de Belgique pour leur soutien sans cesse renouvelé à son ONG.
Plusieurs activités ont meublé ce temps de vacances utiles des enfants, notamment les activités de loisir, des carrefours, des jeux…
Créé en 2006 avec 6 enfants, ANGE parraine aujourd'hui plus de 300 enfants. Ces enfants sont issus généralement du milieu carcéral, de la rue, des parents déshérités, abandonnés que ANGE scolarise ou met en apprentissage.
Pierre AGBANDA
© Chronique de la Semaine du 29 juillet 2010

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