Médias

Des images qui peuvent heurter un jeune public

Les comportements violents trouvent leur inspiration à travers le petit écran

Les images violentes véhiculées par la télévision ont un effet néfaste sur les mineurs et plus généralement sur les jeunes. C’est le constat dressé mardi à Lomé par Moustapha Ali Alifei, le président du Réseau francophone des régulateurs des médias (REFRAM) lors d’une rencontre de haut niveau des instances de régulation de 11 pays africains.

‘Servir le grand public sans compromettre les droits des enfants reste l’équilibre nécessaire auquel nous invite l’une des directives de reportage de l’Unicef’, a déclaré Biossey Kokou Tozoun, le président de la Haute Autorité de l’audiovisuelle et de la communication (HAAC).

Le REFRAM va élaborer une plateforme d’instruments juridiques susceptible de protéger les plus jeunes.

Le Premier ministre, Arthème Ahoomey-Zunu, qui lançait la rencontre, a indiqué que la protection des mineurs était au cœur des préoccupations du gouvernement togolais

Plusieurs personnalités participent aux discussions dont Abdou Assouma, le président de la Cour constitutionnelle, Julie Godignon, attaché du programme liberté d’expression et régulation des médias à l’organisation internationale de la francophonie (OIF), Bertrand Levant du CSA Belge, Claire Brisset, expert de l’OIF sur les droits de l’enfant.

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