Le pouvoir et l’opposition ne semblent pas avoir la même compréhension sur la finalité du processus de mise en œuvre des réformes, souligne Lettre de la Kozah paru lundi.
Le premier ne veut pas se faire piéger au risque de prématurément le fauteuil présidentiel; le second entrevoit, au bout des réformes, le boulevard menant à la succession.
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Lettre de la Kozah N°148.pdf
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