«La Cour de justice de la Cédéao a dit le droit. A sa manière. C’est son droit et aussi son devoir. On peut en rire ou en pleurer selon qu’on a perdu ou non une écharpe de députés dans cette affaire. Mais en riant ou en pleurant il faut simplement prendre garde à ce que les éclats de rire ou les sanglots ne fassent dire à la Cédéao, ce qu’elle n’a pas dit », écrit mercredi l’éditorialiste du Libéral qui souligne qu’à aucun moment la juridiction régionale n’a demandé le retour des députés exclus à l’Assemblée. Et l’hebdo de conclure « Si telle avait été sa volonté, l’a Cour l’aurait dit ».
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