Médias

Le ‘2 février’ victime collatérale du printemps arabe

L’abandon des travaux de réhabilitation de l'hôtel 2 Février à Lomé est une autre conséquence du printemps arabe qui a mis fin au règne du Guide Libyen.

Au-delà de tout, l'on se demande si cet hôtel, patrimoine national, ne peut pas être rétrocédé à d'autres preneurs afin qu'il retrouve sa renommée d'antan et génère des recettes pour notre économie, écrit jeudi Chronique de la Semaine.

Cette tour de 36 étages, fleuron de l’industriel hôtelière dans les années 90, avait été vendue au Fonds libyen LAP (Libya-Africa Investment Portfolio) en 2000. Mais les travaux de rénovation n’ont jamais vraiment débuté.

Information additionnelle

Chronique de la Semaine N°268.pdf

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