A dix-neuf mois du scrutin présidentiel, le silence est encore pesant et l’échiquier politique toujours illisible. Même si les élections législatives prévues pour le 20 décembre prochain ont valeur de test, pouvoir comme opposition ne perdent pas de vue la course imminente vers le Palais de Lomé, peut-on lire jeudi dans La Nouvelle Tribune.
Au Togo, comme ailleurs en Afrique, le rendez-vous par excellence est celui des élections présidentielles.
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