«Selon certains témoignages dignes de foi, les étudiants qui sont engagés dans un bras de fer avec les autorités surprennent beaucoup par leur tendance marquée à remettre constamment en cause les acquis des discussions menées la veille. Comme si les étudiants étaient guidés par des mains invisibles (…)», écrit Le Libéral paru mercredi.
Et l’hebdo de poser la question : qui tire les ficelles de la contestation ?
Les étudiants et leur campus ont toujours été d’un grand intérêt pour les partis politiques. De la à penser que l’agitation n’est pas innocente ….
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Le Libéral N°25.pdf
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