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Quatre lettres pour un parti, qui dit mieux ?

UNIR, «Le nom du nouveau parti de Faure Gnassingbé sonne bien et passe bien. UNIR. Quatre lettres magiques qui en sigle ont une bonne résonnance et une connotation positive. La déclinaison à elle seule suffit à véhiculer tout un programme politique », écrit mercredi Le Libéral.

Reste toutefois, estime l’hebdomadaire, à faire en sorte que le nouveau parti porte bien son nom en incarnant les valeurs que son nom promet.

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Le Libéral N°68.pdf

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