Politique

Docteur CST et les péritonites policières

Sans programme et faute de soutien, les opposants regroupés au sein du CST et du FRAC sont à la recherche de n’importe quelle opportunité pour maintenir un climat de contestation.

Le décès tragique d’un élève lundi à Dapaong (Nord du Togo) est pour ces formations inespéré. Elles appellent leurs sympathisants à manifester samedi à Lomé « pour exprimer leur indignation face à cette barbarie qui accable les populations de Dapaong, de leur témoigner leur soutien et leur sympathie et de faire des hommages mérités aux deux jeunes qui ont versé leur sang dans la lutte pour la libération de tout le peuple togolais du joug de la dictature », a déclaré vendredi un responsable du Parti Alliance des démocrates pour le développement Intégral (ADDI).

Les « deux jeunes », mentionnés dans cette déclaration procèdent du mensonge pur et simple et de la volonté d’en rajouter dans la dramatisation.

Le décès de Sinanlengue Douti (22 ans), qui avait lui aussi participé à la manifestation, n’est, ni de près, ni de loin, lié à de prétendues violences policières, comme tentent de le faire croire certains opposants et les médias qui leur son proches. Il a succombé à une crise cardiaque lors d’une intervention d’urgence pour une péritonite aiguë généralisée par perforation de l’intestin grêle. Et à ce stade des connaissances médicales, la péritonite n’est pas la conséquence de brutalités.

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