Politique

Entre l'UFC et le gouvernement, le partenariat se poursuit

Gilchrist Olympio

Il n’y a pas de rupture entre l’UFC et le gouvernement, a tenu à affirmer mardi au micro d’une radio locale Pierre Sambiani Jimongou, le secrétaire général du parti dirigé par Gilchrist Olympio.

La semaine dernière, l’opposant historique avait regretté l’absence de résultats réels liés à l’accord de gouvernement conclu en 2010.

‘Divorce forcé ou divorce provisoire, il ne s’agit ni l’un ni de l’autre. C’est un simple appel à notre partenaire pour qu’il s’engage dans ce qu’il a dit’, a déclaré M. Sambiani Jimongou.

‘Il n’y a pas de rupture. D’ailleurs les ministres UFC sont à leur poste’, a-t-il ajouté.

Les déclarations de Gilchrist Olympio doivent être comprises comme un message passé au gouvernement.

‘La déclaration n’est pas pour faire le bilan de l’accord ou pour le dénoncer. C’est une manière de dire à notre partenaire que c’est sa non-application qui a provoqué la situation que l’on connaît aujourd’hui. Mais il n’est pas trop tard’, a déclaré le secrétaire général de l’UFC.

Interrogé hier par une chaîne de télévision locale, Eliott Ohin, le vice-président du parti, n’avait pas dit autre chose. Il avait également précisé que les propos de Gilchrist Olympio ne constituaient en rien un testament politique.

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