L’UFC (opposition) vient de clarifier sa position concernant les réformes constitutionnelles. Jean-Claude Homawoo, son vice-président, a expliqué en substance mercredi sur Victoire FM qu’il ne fallait pas mettre les charrues avant les bœufs.
« C’est à la prochaine Assemblée nationale de se pencher sur les problèmes de réformes politiques, comme ceux évoqués par les dirigeants du Collectif +Sauvons le Togo+. Mon parti se concentre sur les élections législatives à venir. D’abord parce qu’il nous faut un scrutin transparent ; et ensuite pour obtenir l’élection de nombreux députés issus de l’opposition. Ce Parlement pourra alors discuter et finaliser les reformes constitutionnelles et institutionnelles », a indiqué M. Homawoo.
Il appartient donc aux formations d’opposition de convaincre les électeurs d’envoyer le maximum d’élus siéger pour s’atteler aux réformes que certains réclament actuellement au moyen de manifestations.