La situation était tout à fait normale à Lomé en dépit des appels à manifester lancés par les opposants. Des rassemblements interdits en raison de la tenue du dialogue politique.
Des policiers patrouillaient dans la capitale pendant que la population vaquait à ses occupations avec un trafic automobile toujours aussi dense.
Le constat est que la population est lassée par 8 mois de manifestations qui ont durablement affecté l’économie. Même les sympathisants de l’opposition reconnaissent aujourd’hui que le climat de tension entretenu par les adversaires du pouvoir pénalise tous les togolais.