Nicolas Lawson (photo), à la tête d’un petit parti de l’opposition, le PRR (Parti du renouveau et de la rédemption), a décidé de mettre fin à son boycott et de rejoindre le Cadre permanent de dialogue et de concertation (CPDC) pour, explique-t-il « ne plus laisser une minorité décider de l’avenir du pays ».
M. Lawson n’est ni favorable à un régime présidentiel, ni pour un régime semi-présidentiel, mais pour une formule de « régime présidentiel balancé ».
Kezaco ?
Selon l’intéressé, il s’agit d’un « régime avec des contre-pouvoirs très forts »,
Et Nicolas Lawson de souligner qu’ « il faut qu’il y ait des contre pouvoirs suffisants au Togo pour empêcher le président de la République, qui a la légitimité du suffrage universel, d’aller vers le despotisme »,