Jean-Pierre Fabre, le candidat malheureux à l’élection présidentielle au Togo, n’est pas parvenu mardi matin à mobiliser la rue. A peine 300 jeunes, dont beaucoup d’adolescents, avaient répondu à son appel à manifester, en dépit d’une interdiction émise hier par les autorités.
Les habitants de Lomé vaquaient normalement à leurs occupations et la capitale n’offrait aucun signe particulier de tension.