Politique

'Le retour à la constitution de 1992 ne peut être envisagé'

Des pistes pour l'avenir

Le colloque organisé par l’université de Lomé (UL) à l’occasion du 25e anniversaire de la promulgation de la constitution de la Ive République s’est achevé samedi.

Les réflexions menées pendant 2 jours apporteront ‘inévitablement une valeur ajoutée aux décideurs pour l’avenir du pays’, a souligné Dodzi Komlan Kokoroko, le président de l’UL.

‘Les débats ont permis de parvenir à deux importantes conclusions. D’une part, le retour à la constitution de 1992 ne peut être envisagé en l’état actuel des choses. D’autre part, le projet de loi de réformes constitutionnelles introduit récemment par le gouvernement ne saurait prospérer au regard de son caractère elliptique", a-t-il ajouté.

Le président de l’UL recommande que la future constitution prenne en considération un certain nombre de problématiques comme la moralisation de la vie publique, le Sénat et l’amélioration du code électoral.

Enfin, les organisateurs ont tenu à préciser que l’absence d’Edem Kodjo et de Mgr Nicodème Barrigah-Benissan, n’avait rien d’un boycott, mais d’un emploi du temps serré ne leur permettant pas de prendre part aux travaux.

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