Politique

Les femmes ne sont pas à la fête

Une centaine de leaders religieux et chefs traditionnels ont été conviés par la ministre de la Promotion de la femme, Henriette Amédjogbé-Kuévi, à participer à un séminaire consacré aux violences faites aux femmes.

Elles ont la vie dure au Togo. Une étude montre que les persécutions sont aussi bien morales, financières que physiques avec, notamment, les mutilations génitales.

"Malgré les mesures prises et les actions menées sur le plan international, régional et national, le phénomène des violences basées sur le genre persiste et gagne de plus du terrain. Il nous faut aujourd'hui des actions plus concrètes qui nous permettront de relever le défi de l'instauration d'une société plus juste et équitable où règne la paix et la concorde entre les Hommes", a déclaré Amédjogbé Kuévi.

Le séminaire est organisé par l’UNFPA, un démembrement des Nations Unies qui assure la promotion des droits des femmes.

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