Politique

Lumières sur le rapport de la Commission des droits de l’homme

Saisi d’éventuelles violations des droits de l’homme dans l’affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat qui visait à renverser les institutions légitimes de l’Etat et à assassiner le Chef de l’Etat, le gouvernement a demandé un rapport sur ces faits éventuels de violences à la Commission Nationale des droits de l’Homme.

La Commission a enquêté et effectué ses conclusions en toute liberté après avoir entendu les parties intéressées. Sa tache terminée le Président de la CNDH est allé remettre son rapport au Chef de l’Etat Puis, en date du 17 février 2012 et par bordereau N° 34/11/CNDH/CA/PC, le Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme a transmis au gouvernement, par le biais du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, chargé des Relations avec les Institutions de la République, le rapport adopté par son institution sur les cas des allégations de tortures faites à la barre par les personnes interpellées dans le cadre de la tentative d’atteinte à la sûreté de l’Etat. Ce rapport est paraphé et signé par le Président de la CNDH.

Dans un souci de transparence le gouvernement -à qui ce rapport était destiné- l’a publié lui donnant la plus large des diffusions

Postérieurement, le président de la CNDH s’est rendu à l’étranger et a publié sur le site de l’institution un autre rapport qualifié d’authentique alors qu’il allègue de façon mensongère par ailleurs, sur le site Internet de la CNDH que : « …le Gouvernement a fait publier un rapport travesti et obtenu sur menaces ».

Le gouvernement  a démenti catégoriquement ces allégations de travestissement et de menaces et a précisé qu’il n’a reçu de la CNDH qu’un seul rapport paraphé et signé par son président. Et c’est ce rapport qu’il a rendu public le 18 février 2012 en toute transparence.

Il n’empêche de l’étranger -où il s’est rendu librement- le président de la CNDH dont le mandat est aujourd’hui expiré vocifère, allègue demande des audiences et prétend que sa famille est menacée.

Le moment choisi pour cette démarche fort éloignée de la protection des droits de l’homme n’est pas anodin ; C’est le jour même où le Chef de l’Etat se trouve à New-York pour présider une importante réunion du Conseil de Sécurité.

C’est également au moment où certaines organisations des droits de l’homme ont  manifesté dans la rue en compagnie de mouvements politiques en mal d’électeurs.

Il s’agit de tenter de discréditer par le mensonge et l’affabulation le Togo nouveau moderne et respectueux des droits humains.

Cette écume ne troublera pas la marche sereine du gouvernement qui tiendra compte de toutes les suggestions éclairées pour faire progresser les droits de l’homme et l’état de droit au Togo hors de toute gesticulation politicienne.

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