L’Union européenne n’enverra pas d’observateurs au Togo pour l’élection présidentielle du 15 avril prochain, mais financera des organisations de la société civile chargées de déployer un millier de personnes dans les bureaux de vote.
Les organisations internationales (UE, PNUD, …) privilégient désormais des démarches inclusives en sous traitant différentes missions à des acteurs locaux.
Une démarche à saluer à condition de s’assurer préalablement de la neutralité politique totale de ces derniers. Et c’est encore plus vrai concernant les opérations d’observation électorale.
Un manque de neutralité risquerait de décrédibiliser leur mission.