Politique

Olympio demeure le président national de l’UFC

Gilchrist Olympio, le président national de l’UFC (opposition) a tenu à clarifier les choses sur la situation de son parti, sur l’émergence du Frac et sur l’exclusion de Jean-Claude Homawoo.
Le fondateur de la principale formation de l’opposition a rappelé dans un communiqué publié lundi « son soutien multiforme sans faille » à la candidature de Jean-Pierre Fabre à la présidentielle, sans toutefois remettre en cause le résultat de la présidentielle du 4 mars dernier.
S’agissant du Frac, il n’a pas semblé soutenir cette initiative assurant « qu’il restait attaché à son parti, l’UFC ».
M. Olympio a enfin rappelé qu’il restait le patron et qu’il n’entendait pas négocier d’accords secrets avec le gouvernement ou avec d’autres formations politiques.
« En tout état de cause, il (Gilchrist Olympio) demeure le Président national de l’UFC. A ce titre, il ne peut en aucun cas se permettre de trahir son parti en négociant quelque accord secret que ce soit avec le gouvernement ou d’autres partis », indique le communiqué.
Le communiqué de Gilchrist Olympio
1- A la suite de l’élection présidentielle du 4 mars 2010, son silence ne signifie pas un désintérêt de la vie politique togolaise. C’est plutôt une façon de prendre du recul, pour procéder à une analyse globale de la situation actuelle pour apaiser les cœurs et les esprits. Dans un bref délai, il se propose à intervenir dans le sens souhaité par les militants de l’UFC et ses sympathisants.
2- Il n’ignore pas les questions relatives à la candidature de Jean-Pierre Fabre, à l’exclusion de Jean-Claude Homawoo des instances du parti et de la CENI, à l’émergence du FRAC, à l’approche politique du gouvernement actuel.

Sur le cas du candidat de l’UFC aux présidentielles, il rappelle le soutien multiforme sans faille a sa candidature 
 Concernant l’émergence du FRAC, il est en train d’étudier les tenants et aboutissants de cette nouvelle démarche. Il reste attaché à son parti, l’UFC 
 En tout état de cause, il demeure le Président national de l’UFC. A ce titre, il ne peut en aucun cas se permettre de trahir son parti en négociant quelque accord secret que ce soit avec le gouvernement ou d’autres partis.

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