Politique

Pas de problèmes de fins de mois pour les leaders de l'opposition

Les chefs de l'opposition ont les moyens

Les opposants entendent manifester du 12 au 17 mars. Le énième rassemblement depuis août dernier. Un facteur que les habitants de la capitale ont intégré afin d’éviter au maximum les désagréments et les pertes économiques qu’engendrent de telles marches.

Le gouvernement a donné mercredi son accord pour la tenue de ces manifestations. Seules trois villes sensibles ont été exclues, Sokodé, Bafilo et Mango.

Depuis 7 mois, ces mouvements de contestation de l’opposition ont coûté une petite fortune aux entreprises et aux commerçants. De nombreux opérateurs sont dans le rouge et risquent de mettre la clé sous la porte et de licencier.

Mais cette situation ne semble pas gêner les responsables de l’opposition dont la plupart bénéficient des subsides de l’Etat. Donc pas de problème pour boucler les fins de mois.

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