Politique

Politique de santé ambitieuse

Rigueur budgétaire et professionnalisme du corps médical

En 2017, le budget du secteur de la santé passe de 7,8 à 10%. Des ressources supplémentaires qui permettront d’amorcer la mise en œuvre du Plan national de développement sanitaire 2017-2022 (PNDS).

Les priorités ont d’ores et déjà été identifiées. L’objectif est de réduire la mortalité maternelle, néonatale et infanto-juvénile, de renforcer la planification familiale et la santé des adolescent, de poursuivre la lutte contre les maladies transmissibles et non-transmissibles, d’améliorer la sécurité sanitaire et de parvenir à une couverture sanitaire universelle, notamment.

Le PNDS bénéficiera du concours financier de l’Etat, de l’UNICEF, de l’OMS et du Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose.

Pour le ministre de la Santé, Moustapha Mijiyawa, la modernisation du secteur est une priorité. Il était jeudi sur le terrain pour une visite des hôpitaux de Blitta et d’Atakpamé.

L’occasion de rappeler que l’apport de nouveaux financements est une bonne chose à condition que la gestion suive.

C’est la raison pour laquelle le gouvernement a décidé de lancer une phase test de contractualisation.

La gestion de la morgue, de la pharmacie du laboratoire et du centre radiologique du CHU de Lomé sera confiée à une société privée.

Si les résultats sont positifs, le dispositif sera étendu à d’autres hôpitaux.

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