Au Togo, chacun y va de ses propositions pour apporter une solution au difficile dialogue entre le gouvernement et certains partis d’opposition et au passage pour se faire un peu de publicité.
Dernier sur la liste, Victor Alipui, ancien ministre et président d’un Groupe de réflexion d’action pour le dialogue, la démocratie et le développement (GRAD).
Interrogé mardi par Victoire FM, M. Alipui s’est livré à un délicat exercice de platitudes et de banalités.
Il attribue la crise politique au Togo et le climat de méfiance « à la gestion de l’après décès de l’ancien Président Gnassingbé Eyadèma ».
L’absence d’un Comité de suivi de l’Accord politique global (APG) signé le 20 août 2006 entre les acteurs politiques, a compliqué la situation, estime-t-il.
Pour le GRAD la solution passe par « un nouveau dialogue franc qui devra permettre de rompre avec la crise de confiance.
Avec ça, on est bien avancé.