Amnesty International a publié vendredi son rapport annuel sur la situation des droits humains dans le monde. S’agissant du Togo, l’ONG revient sur quelques faits qui ont marqué l’année 2010 en matière de liberté de réunion et d’expression et signale le cas de quelques militants incarcérés lors de l’élection présidentielle et rapidement relâchés.
Amnesty mentionne la dispersion de rassemblements organisés par le FRAC à l’aide de gaz lacrymogène et l’interpellation, pour quelques heures, de deux journalistes lors de manifestations à Lomé.
La simple lecture de ce rapport, qui ne contient aucun fait grave en matière d’atteinte aux droits de l’homme, permet de constater objectivement les progrès spectaculaires accomplis par le pays depuis 6 ans.