Politique

Qui sont vraiment les malfrats ?

Très en verve jeudi, le leader de l’ANC (opposition) Jean-Pierre Fabre (photo), a menacé de ne plus participer à aucune élection au Togo si la Cour constitutionnelle n’était pas dissoute.

«Si nous ne faisons pas sauter le verrou de la Cour constitutionnelle, point n’est besoin d’aller aux élections au Togo », a déclaré M. Fabre, ajoutant que «Tout parti politique qui veut se présenter aux élections au Togo a tout intérêt à la disparition de cette institution ». 

Refus d’accepter la candidature de Kofi Yamgnane à l’élection présidentielle de 2010 et exclusion des ex-députés UFC, ralliés à l’ANC, « la Cour constitutionnelle est le levier d’un complot minable ourdi par des petits malfrats pris la main dans le sac", affirme ce dirigeant politique. 

Enfin, Jean-Pierre Fabre accuse le président Faure Gnassingbé d’ « avoir organisé tout ce désordre auquel vient de mettre fin la Cour de justice de la Cédéao ». 

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