Le président Faure Gnassingbé a évoqué mercredi avec le nouveau représentant du Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR), Theophilus Vodounou, la situation des 20.000 réfugiés de diverses nationalité installés sur le sol togolais. Ils sont Ghanéens et Ivoiriens, notamment.
Leur statut n’a plus de sens car aucun péril ne pèse sur leur pays d’origine où leur sécurité peut être assurée. Il est donc devenu nécessaire d’envisager leur rapatriement volontaire.
Et pour cela, le HCR a besoin de l’appui du Togo.
«Avec le chef de l’Etat, j’ai exploré exploré les moyens de faciliter le rapatriement dans les pays d’origine », a précisé M. Vodounou.
Le Togo compte à ce jour 10.000 réfugiés Ghanéens et 5000 Ivoiriens (dont 3000 installés au camp d’Avépozo), les autres sont issus de 14 nationalités différentes, principalement africaines.