Politique

Réaménagement du calendrier électoral

Prévues le 24 mars, les élections législatives seront sans doute repoussées. C’est ce qu’a laissé entendre la Commission électorale nationale indépendante (Céni). Un retard imputable aux représentants des partis politiques qui n’ont toujours pas transmis la liste de ceux qui les représenteront au sein des Comités des listes et cartes (CLC). De fait, le recensement électoral ne pourra démarrer le 18 février comme cela avait été planifié.

« La Céni constate que le  retard pris par les partenaires influe sur la mise en œuvre et entraîne ipso facto, le réaménagement du calendrier des activités », écrit Angèle Dola Aguigah, la présidente de l’institution dans une note adressée aux formations politiques.

La fiabilité du processus repose justement sur la qualité du fichier électoral, la transparence dans le dépouillement et la traçabilité dans la transmission et la centralisation des résultats. La Céni ne veut donc pas agir dans la précipitation, mais au contraire tout mettre en œuvre pour parvenir à un scrutin, libre et transparent. Des conditions essentielles pour une démocratie apaisée au Togo.

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