Démonétisés par l’accord conclu par le président Faure Gnassingbé avec le principal parti d’opposition, l’UFC de Gilchrist Olympio, aigris par leur remplacement par des leaders plus jeunes, les « retraités » de l’opposition togolaise des années 1990 voudraient bien reprendre du service en surfant sur la vague tuniso-égyptienne. C’est ce qu’indique vendredi le site Maghreb Intelligence qui cite, notamment, Jean Degli et Zeus Ajavon.
« Pour ceux qui connaissent bien la scène togolaise, l’on remarquera que Ajavon - qui n’en est pas à une contradiction près - défend en sa qualité d’avocat le frère putschiste de Faure Gnassingbé, emprisonné et accusé par la DEA américaine d’avoir trempé dans un trafic international de cocaïne ».
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