Politique

Tropisme

Amnesty est manifestement mal renseigné

Depuis des décennies, Amnesty International a le Togo dans son collimateur. Si les évolutions démocratiques et les progrès en matière de défense des droits de l’homme sont reconnus par tous, seule l’organisation continue à décrire le pays comme une sombre dictature.

Le dernier rapport rendu public début mai affirme que ‘les autorités n’ont pas respecté les engagements pris devant la communauté internationale depuis cinq ans’. Amnesty accuse les forces de sécurité d’’avoir tué et blessé plusieurs personnes lors de manifestations pacifiques, des journalistes et des défenseurs des droits humains ont été arrêtés, les conditions carcérales ne répondent pas aux normes internationales et l’impunité pour les violations des droits humains a persisté’. 

Et les accusations ne s’arrêtent pas là : ‘Les réunions pacifiques organisées par des partis politiques ou des défenseurs des droits humains sont souvent arbitrairement interdites et dispersées par la police, la gendarmerie ou les forces armées, et leurs organisateurs exposés à des représailles et des arrestations arbitraires’, peut-on lire.

Amnesty accuse les autorités ‘de continuer à restreindre la liberté d’expression et cibler les journalistes (…)’. Une affirmation qui fait sourire quand on connaît la liberté de ton dont jouissent les médias dont la grande majorité est hostile au pouvoir.

Bref, à en croire l’organisation, le Togo serait l’un des pires régimes au monde et parmi les plus répressifs.

Ce rapport tendancieux et incomplet est par nature peu crédible. 

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