Politique

Un œil sur les droits de l’homme

Le Togo, comme la plupart des pays démocratiques, se livre désormais à un «Examen périodique universel» (EPU) à la demande du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies.

Il s’agit d’un processus unique en son genre qui consiste à passer en revue, tous les quatre ans, les réalisations de l’ensemble des Etats membres de l’ONU dans le domaine des droits de l’homme. 

En octobre dernier, les autorités togolaises ont présenté leur rapport complet à Genève à un jury qui a demandé un certain nombre d’améliorations pour renforcer les droits de l’homme dans le pays.

Au Total 133 recommandations.

La question a justement été évoquée vendredi à Lomé par la ministre des Droits de l’homme, Léordina Rita Wilson-de Souza, les représentants des partis politiques, de la société civile et les fonctionnaires des Nations Unies.

« 89 des 133 recommandations ont été avalisées et 29 déjà mis en œuvre ; 10 font l’objet d’une réflexion et 11 ont été rejetées », a précisé la ministre.

Celles rejetées concernent la Cour pénale internationale (CPI), l’orientation sexuelle et le pacte international sur les droits économiques, sociaux et culturels.

Olatokunbo Ige, la représentante du Haut commissariat aux droits de l’Hommes (HCDH), qui était présente à la réunion, s’est globalement félicitée de l’avancée du Togo en matière de promotion des droits de l’homme.

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