La recomposition de la Commission électorale (Céni) risque de mettre l’opposition dans une situation compliquée.
Sur 14 partis membres de la coalition, elle devra désigner avant le 30 septembre 5 membres de l’opposition parlementaire, 2 de l’opposition extraparlementaire et un représentant de la société civile dont elle est proche.
Pas de problème, affirme-t-on à la coalition.
‘A la coalition, il n’y a pas de partis d’accompagnement et de partis accompagnés. Tout le monde a son poids et chaque parti a une voix qui pèse autant que celle des autres. Nous ferons nos choix en toute responsabilité’, a déclaré Antoine Folly, l’un des représentants de ce groupement.
Plus facile à dire qu’à faire.