Santé

Enrichissement alimentaire

Actuellement, plus de 2 milliards de personnes de par le monde souffrent de carences en micronutriments provoquées pour la plupart par un défaut d’apport alimentaire de vitamines et de minéraux. La lutte contre la malnutrition par carence en micronutriments est donc une condition préalable à toute perspective de développement national rapide et approprié.

L’organisation mondiale de la santé (OMS) et la FAO ont imposé des directives qui ont pour principal objectif d’aider les pays à concevoir et mettre en oeuvre des programmes appropriés d’enrichissement des aliments. 

C’est l’objet de la réunion qui s’est ouverte mardi à Lomé et qui réunit les représentants des pays membres de l’UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine).

« La santé des populations est un souci permanent de nos gouvernements. Aussi, la stratégie de l’enrichissement des aliments en vue d’améliorer leur qualité nutritionnelle est-elle à encourager », a souligné François Galley, le ministre de l'Industrie, de la Zone franche et des Innovations technologiques, à l’ouverture des travaux. Il avait à ses côtés le ministre de la Santé, Charles Kondi Agba.

Le processus d’enrichissement alimentaire a été adopté par le Togo il y a déjà plusieurs années. L’apport se fait localement via les entreprises agro-alimentaires implantées dans le pays ou grâce à des produits importés qui respectent les normes fixées par les responsables de la santé publique.

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