Social

Protection sociale : chantier prioritaire

Une soixantaine de cadres issus des ministères du Travail, du Développement à la base, des Affaires sociales, des Finances et de la Planification participent lundi à un forum consacré à la protection sociale au Togo.
Organisé par le ministère auprès du président de la République chargé de la Planification, il a pour objet d’examiner les conclusions des études réalisées par un comité d'experts mis en place par la Banque mondiale, l'Unicef, le Pnud et le Bureau international de travail (BIT).
En l’absence de la ministre de la Planification, en déplacement à New York, les travaux seront dirigés par son directeur de Cabinet.
Le Togo s’est engagé à  promouvoir une croissance inclusive et à protéger et développer son capital humain en mettant en place des mécanismes de protection sociale qui permettent de réduire la vulnérabilité des populations pauvres et défavorisées face aux risques et aux chocs qui affectent négativement leur capacités a satisfaire leurs besoins.
En ligne avec cet objectifs, des actions été entreprises par le gouvernement comme l’institution de l’assurance maladie, des mécanismes d’assistance sociale, d’appui pour le renforcement des capacités économiques des populations à faibles revenus à travers les projets de développement à la base, et les cantines scolaires dans les communautés les plus pauvres.

Le gouvernement veut aller plus loin

Ces actions bénéficient du concours des partenaires au développement en partenariat avec plusieurs départements ministériels.
Conformément aux directives du président Faure Gnassingbé, le gouvernement veut aller plus loin en mettant en place des politiques et stratégies cohérentes de protection sociale qui tiennent compte des pratiques et spécificités locales et internationales.
« Le chantier  de la protection sociale est prioritaire, pertinent et porteur d’espoir  mais aussi plein de défis », souligne Dédé Ahoefa Ekoué, la ministre en charge de la Planification.
Son succès est conditionné par le développement des capacités, non seulement de l’administration, mais aussi de la société civile et des communautés de base et du secteur privé.
La réussite dans ce domaine nécessitera aussi la mobilisation des financements internes et externes importants pour accompagner la mise en œuvre et le suivi évaluation des mécanismes d’accompagnement adoptés, ajoute Mme Ekoué.

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